À l'origine du nom des marins bretons en garnison à Toulon, s’entraînant à la galéjade toulonnaise en essayant de se moquer. Ils ont affublé de ce surnom taquin ces drôles de bateaux "pointus des deux côtés"...
Puis les malheureux ont compris :
lors d'une "largade" (coup de vent) qu'ils ont subi avec leurs canots bretons à arrière à tableau (tout plat, donc, peuchère...), ils enfournaient les paquets de mer et se faisaient pousser par ruades, cramponnés et silencieux, gangassés et honteux !
Voilà donc pourquoi il est si utile d'avoir une poupe de navire capable d'écarter les eaux, messieurs.
Les marins bretons ne se moquèrent plus jamais des marins toulonnais, mais les toulonnais, eux, toujours prompts à l'autodérision, rieurs, facétieux et galéjeurs de bon cœur, ont adopté de bonne grâce ce sobriquet finalement si rigolo.
Depuis, dans le monde entier, on parle des pointus, ces bateaux fabuleux qu'on trouve à Toulon et dans la région, sans toutefois toujours les comprendre, mais sans plus jamais désormais leur manquer de respect !
Puis les malheureux ont compris :
lors d'une "largade" (coup de vent) qu'ils ont subi avec leurs canots bretons à arrière à tableau (tout plat, donc, peuchère...), ils enfournaient les paquets de mer et se faisaient pousser par ruades, cramponnés et silencieux, gangassés et honteux !
Voilà donc pourquoi il est si utile d'avoir une poupe de navire capable d'écarter les eaux, messieurs.
Les marins bretons ne se moquèrent plus jamais des marins toulonnais, mais les toulonnais, eux, toujours prompts à l'autodérision, rieurs, facétieux et galéjeurs de bon cœur, ont adopté de bonne grâce ce sobriquet finalement si rigolo.
Depuis, dans le monde entier, on parle des pointus, ces bateaux fabuleux qu'on trouve à Toulon et dans la région, sans toutefois toujours les comprendre, mais sans plus jamais désormais leur manquer de respect !
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